Arrivée de Stungrinn

Stungrinn jeta un léger regard empli de dédain vis-à-vis de tout ce bazar entasser, visiblement il n'y avait rien de vraiment intéressant comme le laissait présager l'édifice.

C'est alors un air blasé que la tenancière reçu..

Vous n'auriez rien de plus ... explosif par hasard? Dit-il sans grand espoir de réponse positive.

Sans s'attarder d'avantage Stungrinn dit à la vendeuse:

Et bien donner moi suffisamment de rations pour tenir jusqu'à...

Stungrinn farfouilla quelques instants dans son sac jusqu'à sortir un morceau de parchemin, il le contempla un moment les yeux rivés sur l'écriture, apparemment il cherchait des informations...

Voila! Donnez en moi pour tenir jusqu'à Stigar s'il vous plait. Ainsi que trente-neuf carreaux.

Après avoir conter le nombre de carreaux et avoir donné à la commerçante son du, Stungrinn pouvait prendre la route pour la grande ville de Stigar.

Stungrinn obtint donc ses 39 carreaux ainsi qu'un repas, ce qui était suffisant d'après la commerçante: Stigar n'était qu'à une journée de marche, et encore, en marchant.

Notre nain mangea donc, ce qu'il lui permit de se sentir un peu mieux (regagne tous PV, uniquement pour cette fois la, aaaah, quelle douce saveur que celle des premières fois =P) et repartit donc à travers la forêt, direction Stigar, la deuxième cité humaine par son importance.


Notre ami barbu suivit donc un petit sentier, marchant à travers les bois encore un peu frais, pour la saison. Soudain, un bruit attira son attention dans son dos. Se retournant, il vit quatre araignées, au corps de la taille de son poing, marcher en sifflant dans sa direction. Il se saisit alors de son arbalète...

Suite dans ce post de combat.

Stungrinn, une fois ses assaillants (en l'occurrence, des araignées) tuées, reprit sa marche dans les bois de Shinatra, direction Stigar. Les sens en aguets, craignant à nouveau une attaque, il avança donc.

Près de deux heures plus tard, il entendit des bruits indistincts derrières un talus. Le contournant, il vit carriole arrêtée, conduite par une femme qui, un couteau à la main, tendait de se défendre contre un homme au visage dissimulé derrière un tissu noir, sans doute un malandrin. Celui-ci, voyant le nain, armé, s'élança vers lui.

Suite dans ce post.

Stungrinn avait triompher glorieusement de son adversaire et entreprit de fouiller le malandrin à la recherche de denrées explosives. Prit d'excitation comme une enfant devant un nouveau jouet, Stungrinn fouilla méticuleusement chaque recoins de ses vêtement, mais malheureusement rien... Ha que ses humains étaient bêtes et inutile, guère mieux que des phacochères dans une forêt de pins.
Mais oui c'était cela. Stungrinn se souvient que certain ingrédients n'était pas forcement sur l'animal mais parfois il était dedans... intérieurement il se maudissait d'avoir été aussi bête d'avoir perdu un temps précieux qui garantissait la qualité des ingrédients. Il avait pourtant prit l'habitude dans la forêt, mais voila que cette fichue histoire de "Quête" lui avait tourné la tête...

Il fallait certes trouver de nouveaux ingrédients mais il ne fallait pas pour autant abandonner les anciens...

[Stungrinn]: Aller mon gars on va voir ce que tu as dans le ventre!

Sans hésitation aucune Stungrinn arracha les vêtements qui protégeaient son ventre et, avec le couteau tout juste récupéré, il attaqua l'abdomen de l'homme. Pas trop fort tout de même il ne fallait pas abimer la marchandise... Mais le temps comptait il ne pouvais se permettre d'attendre trop longtemps. C'est donc avec une certaine hâte, que Stungrinn mit à jour les intestin de l'homme s'empressant de nouer les boyaux pour éviter que le gaz ne s'échappe lors de l'incision de l'appendice. Tout aussi concentrer il palpa le dit appendice à la recherche de poche de gaz comme il l'avait mainte fois dans la forêt. Un fois la poche de gaz trouver et isolé Stungrinn se mit au travaille afin d'extraire la poche ainsi obtenue.

Elle n'était pas d'une taille impressionnante pour la bête mais c'était un début, avec le nouveau matériel il était préférable d'extraire des échantillons pour les tester.
Ainsi Stungrinn devait trouver un moyen de la faire exploser.

Le plus sur fut encore de glisser une mèche par un des orifices afin qu'en l'allument celle-ci puisse enflammer les gaz de décomposition tout en permettant une relative distance de sécurité. Sans attendre d'avantage Stungrinn manipula délicatement son prélèvement afin d'un glisser une ficelle par un des orifice clos...
Le seul moyen était de pencher cet orifice vers le bas afin qu'un minium de gaz ne n'échappe à cause de sa faible densité. L'opération ne fut pas une mince affaire mais Stungrinn n'en était pas à sa première expérience.

Ce fut lors de l'allumage que Stungrinn rencontra des difficultés, en effet il n'avait pas prit de feu et sans cela l'expérience était fiche, l'échantillon ne résisterai pas au voyage avec ce matériel de fortune...

Il se tourna donc vers la femme qui était auparavant agresser par sa matière première, elle devait surement regarder tétaniser la boucherie qu'avait fait Stungrinn, mais le bougre ne pouvait en avoir conscience car son action n'était que pur expérimentation scientifique...

Ainsi il se tourna vers elle et très poliment lui dit:

[Stungrinn]: Excsez moi... Vous auriez du feu?

La jeune femme regardait le nain, terrifiée. Elle ne savait comment réagir, il l'avait d'abord promptement sauvée du brigand, puis s'était revelé etre un véritable boucher...

Après de longues secondes d'hésitation, elle répondit d'une voix étranglée: Heu...O...oui, messire, attendez...Je reviens t...tout de suite.

Elle disparut à l'interieur de sa cariole, et Stungrinn put entendre qu'elle fouillait à l'interieur, puis elle revint, tenant à la main une lampe à huile allumée.

Tenez...Je vous en prie, ne me faites pas de mal!

Surexcité Stungrinn s'empara de la lampe en un éclair... Enfin son expérience était à sa portée. Mais attention pas d'empressement, ile ne fallait pas tout gâcher. Stungrinn aménagea donc au milieu de la route une petit espace pour installer correctement son échantillon.

Il alluma ensuite la mèche il avait perdu déjà beaucoup trop de temps, l'échantillon avait pu être détériorer ou souiller il ne pouvait le savoir la seule chose qui lui restait à faire c'était de le tester.
Son cœur battait de plus en plus vite ses mains étaient moites, il n'avait pas ressentit ça depuis très longtemps, l'attrait de la nouveauté peut être.

Il s'installa à coté de la femme e manière a bien observé ce qui allait se passer.

[Stungrinn]: Que le spectacle commence!

Stungrinn regarda avec admiration la flamme s'échapper de l'intestin. La flamme que son expérience produisit était de toute beauté, et après quelques instants de fascination et de réflexion. Oui je sais ca peut sembler incohérent mais pour Stungrinn qui réfléchissait beaucoup avec l'aide de son expérience personnelle ca ne l'était pas.

Ainsi après avoir soigneusement noté dans sa petite caboche, faute de quoi écrire un compte rendu de son expérience Stungrinn salua la gentille femme avant de poursuivre sa route.

Stungrinn reparti donc sous le regard encore interloqué de la jeune femme. Il marcha encore près de deux heures avant d'arriver à Stigar, cette grande cité, la deuxième par son importance sur le domaine humain. A peine entré, il fut frappé par l'agitation. Une population très cosmopolite vaquait. Au loin, il entendait les rumeurs d'un marché. Et il pouvait voir de grand bâtiments au loin: des temples. Il pouvait aussi aller en quête du poste de garde. Qu'allait-il faire?

[Suite dans "La cité de Stigar" je te laisse poster en premier selon ce que tu veux faire]